La nymphe borgne
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Urua, notre sainte ville migratrice, fut le berceau d'un crime atroce. Incarnez un personnage et tentez de découvrir les secrets d'une cité des cieux.
 
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 Alexandre IV, le roi!

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Alexandre IV
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Alexandre IV


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MessageSujet: Alexandre IV, le roi!   Alexandre IV, le roi! Icon_minitimeDim 22 Juil - 17:10

(Ah non, je peux pas me faire un nouveau compte pour le nouveau perso :'(. (du moins, pas avec mon mail principal -.-'. Alors il faudra changer le nom de ce compte-ci Ismy quand t'aurait une minute. À moins que quelqu'un souhaite faire une dernière poignée de post avec Daeron avait que celui-ci ne meurt sur le champs de bataille, he's done for Me? )



Nom : Puisque c’est son frère je suppose qu’il a le même que stanislou… d’Urua, donc



Prénom : Cyril, mais appelé par son nom royal, Alexandre le Quatrième, fils du prince Bertrand dit le Croisé, lui-même fils de la reine Anaïs première dite la bienheureuse.



Âge : 22 ans



Sexualité : hétéro



Lieu d’habitation : Quand t’es un roi… t’habite le palais, non? ^^



Religion : Sa foi est profonde et sincère, comme nous sommes en droit de nous attendre de la part du roi de la très sainte Urua. Mais il déteste le clergé, car celui-ci s’est approprié tous les pouvoirs de la monarchie durant la régence qui a précédé son reigne.



Foi en Ismeraude : Haha, elle est bien bonne! Il la considère comme principale responsable de son statut symbolique dans la vie politique de la cité. Elle a refusé de redonner les pouvoirs royaux que le clergé avait « empruntés » durant la régence, après tout. Alors non, le roi ne fait pas confiance à Ismeraude. Il ne tolère sa présence que parce que c’est elle qui détient les pouvoirs, justement.



Métier : Il est roi… c’est un métier?



Description physique : Alexandre IV est petit, très petit. Pas petit comme un enfant ou un nain des légendes, mais suffisamment pour pouvoir avancé que l’homme à eu des troubles de croissance, d’origines toujours inconnues. Les mêmes caractéristiques se retrouvent dans son visage, qui conserve des traces juvéniles malgré les 22 ans du roi. Sa tête, bien que plus petite que celle d’un homme normal, reste trop grosse par rapport au reste de son corps, et ses yeux sont plus bas sur son visage et semble plus gros, à la manière d’un enfant. Mais les ressemblances avec un gosse s’arrêtent là. Son amertume envers la sainte Église à dépouillé ses yeux de leur innocence, et déformé son sourire pour lui donner un arrière goût amer. Ses cheveux, s’arrêtant à la courbe de son menton, à quelques centimètres des épaules, témoignent d’une étrange blancheur pour une personne de son âge. Presque transparents, ils terminent l’allure hétéroclite du prince : juvénile d’un côté, et adulte de l’autre.



Description psychologique : Le tempérament d’Alexandre IV n’a rien d’innocent, contrairement à ce que sa taille pourrait laisser supposer. Le jeune roi est calculateur, manipulateur, et terriblement efficace dans la gestion de tous ses mensonges. Il désire le pouvoir, le vrai, pas le pseudo-pouvoir que lui confère son statut de roi, devenu pratiquement un symbole depuis l’avènement de la régence, et il est prêt à tout pour l’acquérir. Non seulement pour lui, mais pour la gloire et la prospérité d’Urua tout entier. Après tout, seul un roi peut gouverner la sainte cité, il en toujours été ainsi.



Plus grande qualité : Son ambition et sa détermination : Jamais Cyril ne laissera le pouvoir libre à l’Église, doive-t-il brûler sur le bucher pour hérésie pour avoir été trop insistant.



Plus grand défaut : Son peu de réticences à user de méthodes peu… orthodoxes? Car il ne faut pas se leurrer, le roi a bel et bien son armée, même s’il ne s’agit pas celle commander par le capitaine Békenzy. Malfrats persécutés par l’Église, riches bourgeois en quête d’un statut social plus élevé et simples tueurs à gage prêt à puiser dans le colossal royal, Alexandre IV sait se montrer rassembleur… quoi qu’en dise les moralisateurs.



Famille : Son frère, le prince Stanislas (dont il est très différent d’ailleurs O_o)



Histoire : L’histoire d’Urua et celle de ses souverains sont étroitement entrelacés, puisque c’est les rois et reines de la cité qui ont, au fil des siècles, forgés l’incroyable destinée de la cité des cieux. Il convient donc, avant d’en venir au dernier souverain en lice, Cyril d’Urua, Alexandre le Quatrième, de se remémorer l’histoire de la cité qu’il est venu à diriger, ne serait-ce que son histoire récente.



En fait, nous pouvons commencer à la naissance de Cyril, il y a de cela 22 ans. À l’époque, Urua était toujours dirigé par la glorieuse reine Anaïs Première, dite la bienheureuse. Elle fut probablement l’une des plus grandes reines d’Urua, ayant organisé les croisades les plus victorieuses de l’histoire. Menées par le fils unique de la reine Anaïs, le prince Bertrand, désormais appelés le Croisé, les saints soldats du Diadème ont sus apportés la justice du Roy partout sur la terre ferme, et augmenter considérablement le nombre de fidèle… où du moins, augmenter leur proportions face aux hérétiques qui eux, étaient tout à coup bien moins nombreux… allez savoir pourquoi…



Toujours reste-t-il que la grande époque des croisades se termina abruptement quand le prince Bertrand mourut d’une manière bien embarrassante au bout d’un pique porté par un petit Chinois sans histoire. En fait, il en avait fort probablement une, mais l’histoire d’un paysan chinois ayant vécu dans les champs toute sa vie avant d’avoir été engagé de force dans l’armée, puis mort quelques instants après avoir empieuter le prince, n’est pas très intéressante, aussi nous contenterons-nous de se bref résumer, et poursuivrons avec les chroniques de notre glorieuse cité d’Urua. Nous disions donc que le prince Bertrand, unique fils d’Anaïs, était mort au combat, laissant dans le deuil sa mère et ses deux fils, les princes Cyril, âgé de 7 ans, et Stanislas, âgé de 2. Outre le fait que la cité perdait son plus grand guerrier, une autre sombre nouvelle parcourait la cours : avec la mort du seul hériter en âge, et de l’âge avancé de la reine, que se passerait-il si elle venait à mourir avec que Cyril est ses 21 ans, l’âge légal pour gouverner?



Tout le monde espéra que la reine vieillissante pourrait « toffer » jusque là, mais il s’avéra que toute Bienheureuse qu’elle fut, Anaïs Première n’en restait pas pour le moins humaine, et elle quitta pour le Grand Palais trois ans après son fils. Un calcul tout simple permettrait à nos lecteurs de découvrir l’âge des deux princes à cette époque. Mais puisque dans notre cité, la plupart des habitants ne savent pas lire, vous comprendrez que même un calcul aussi simple leur ait impossible. C’est pourquoi nous le ferons à leur place. Cyril était maintenant âgé de 10 ans alors que Stanislas n’en avait que 5. Le problème que tout le monde redoutait arriva donc : qui allait succéder à la reine Anaïs?



La mère Cho, dans son soucil éternel de l’intérêt public, (Et certainement pas dans le but de gonfler l’influence de la sainte Église du Roy, je vous en assure.) proposa la mise en place d’un conseil de régence qui devrait, durant les onze prochaines années, voir au développement prospère de l’Égl… de la cité. Cinq membres furent donc Élus : La très sainte mère Cho, sa preferati en chef, Ismeraude, le prêtre Alphonse de Yorkshire, le très riche, influent, et ami personnel de Cho, bourgeois Giacomo Mussolini, et le chancelier de sa majesté Anaïs, Franz de Salzbourg. Le conseil ainsi formé avait donc le champ libre, grâce à la magnifique loi de la majorité, pour assuré les intérêts du R… des Uruans.



« Pour mieux faire son travail », le conseil vota une succession de lois qui transférait une multitude de pouvoirs traditionnellement accordé à la monarchie vers les instituions religieuses. Parmi ceux-ci, notons le transfert du contrôle de l’armée du roi, vers la nouvellement formée brigade inquisitoriale, la transformation des taxes et impôts en dîme obligatoire et la mise en place d’un nouveau système de maintient de l’ordre : la dénonciation par les paires. La dernière idée était particulièrement bonne : en abolissant le service de police et en offrant des récompenses pour ceux qui dénonçaient les potentiels fouteurs de trouble, (par exemple : les gens instruits, ceux qui possédaient une bibliothèque ou qu’il n’allait pas à la messe le dimanche matin) la ville sauvait une quantité phénoménale de temps et d’argent. Mais toutes ses manœuvres altruistes de la part de Cho n’était pas bien vu par le jeune hériter Cyril, (il était tout jeune à l’époque, il faut le pardonner) qui voyait dans les bonnes intentions de la mère une tentative détournée pour priver la monarchie de ses pouvoirs. La bonne mère Cho avait beau lui répéter qu’il ne s’agissait que de mesures temporaires destinées à augmenter l’efficacité du conseil, le jeune prince ne voulait rien entendre. Il se mit même à développer une attitude rebelle, à être arrogant avec les ecclésiastiques et à discuter les instructions de ses professeurs. Le clergé commença à douter à raison qu’il fût une bonne idée qu’il monte sur le trône. De son côté, le prince Stanislas restait parfaitement raisonnable et docile. Probablement que sa prise en charge par les religieuses à un âge plus jeune a favorisé sa bonne perception du monde. Toujours reste-t-il que le conseil, désormais dirigé par Ismeraude de Bourgogne suite au décès de Cho, crut bon de voter une loi spéciale pour donner aux régents le pouvoir de choisir, moyennant un vote à l’unanimité, un roi autre que l’héritier le plus âgé, en autant que celui-ci soit de sang royal. La loi fut passée mais jamais le conseil ne put choisir à temps Stanislas comme roi. Il ne parvenait pas à obtenir l’unanimité : Franz de Salzbourg votait toujours contre. (Sa seule présence était tout de même étonnante, il avait l’habitude de ne jamais se présenter aux réunions, malgré le fait que celles-ci soient annoncés un gros six heures à l’avance. Il faut croire que l’homme ne savait pas trouver de la place pour ses responsabilités de régents entre sa gestion du budget royal, qui demandait beaucoup moins de temps à gérer maintenant que Cho l’avait gracieusement amoindri pour ménager le pauvre homme. ) Toute les tentatives d’Ismeraude de changer l’héritier pendant près d’un an échouèrent. Au final, Cyril d’Urua hérita du trône. Il prit alors le nom royal d’Alexandre IV.



Alexandre IV était bel et bien devenu roi, mais la très sainte Église refusa de lui restituer ses pouvoirs. (et avec raison, il avait prouvé être trop chaotique pour pouvoir s’occuper d’une nation) Mais tout le monde à Urua sait que le nouveau roi n’a pas dit son dernier mot. Un an après son couronnement, il reste un homme sans pouvoir, mais il n’attend que le bon moment. Le moment où il pourrait renverser la très sainte Église avec l’énorme trésor que le chancelier de Salzbourg a réussi à amassé durant les onze années de régence. Le manque de preuves tangibles nous empêchent de l’accuser comme il se doit de Haute Hérésie et de tentative de rébellion contre sa très sainte Église du Roy, mais l’Inquisiteur le garde constamment à l’œil. La divine Providence sera rendue, et la justice du Roy, faite.



-William d’Édimbourg, prêtre historien pour la très sainte Église.



Armes : Le roi n’est pas un combattant, mais il garde toujours avec lui une dague et un pistolet. Qui sait quand ces fanatiques au service de la « très sainte Église » n’essaierait pas de l’assassiner. Il sait fort bien que le clergé préfèrerait son frère à sa place.



(Bon alors je n’ai pas attendu que Daeron rende officiellement l’âme, mais si personne vient lui donner un coup de pouce avant sa mort, je ne reposterai pas avec, donc autant faire cette nouvelle fiche. J’espère Ismy que l’histoire correspond à ce que tu avais accepté. J’ai peut-être oublié certains détails, alors s’il te plait rappelle les mois. Sinon Stanislas, si tu as un problème quelconque avec les passages te concernant, soit à l’aise de m’en parler, je changerai des trucs si nécessaire. À et puis j’ai eu un plaisir fou à écrire cette fiche. Le point de vue du prêtre qui écrit l’histoire me fait bien marrer. (l’église à toujours raison, toujours))
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Ismeraude De La Bourgogne
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MessageSujet: Re: Alexandre IV, le roi!   Alexandre IV, le roi! Icon_minitimeLun 23 Juil - 13:27

Bon et bien... j'ai attendu un peu question de voir si Daeron montrait encore quelques signes de vie... Mais je crois qu'il est temps de te transformer, très cher!! ^^

Bon jeu (again).
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